Investissement locatif : quelle stratégie privilégier en 2026 ?
17 décembre 2025
Tous les ans en France, c’est en moyenne 200 km2 d’espaces verts qui disparaissent sous le béton (soit l'équivalent de 20 000 terrains de football).
Et les conséquences des pertes d’espaces naturels ne sont plus à prouver : effondrement de la biodiversité, baisse de la capacité des sols à stocker le CO2 et donc, hausse du dérèglement climatique.
C’est alors pour limiter ces effets que la France a engagé en 2021 une large stratégie nationale de préservation des sols : le « zéro artificialisation nette » (ZAN) en 2050.
L’objectif est en deux étapes :
Pour l’appliquer dans la vraie vie, les choses s’avèrent plus compliquées que prévu (surtout du côté des collectivités locales).
C’est pourquoi la loi TRACE assouplit le dispositif ZAN, ce qui remet aussi en cause plusieurs avancées de la Loi Climat et Résilience.
Là où c'est intéressant, c'est que pour de nombreux Français, cette loi TRACE incarne un “recul politique” dans la lutte contre l’étalement urbain et la perte de biodiversité.
Cette réaction démontre que la raréfaction des sols devient un critère de valorisation à part entière.
Et qui, peut-être, reflèterait un autre niveau de qualité de vie...
Les critères de valorisation seront-ils renversés au cours des 10 prochaines années ?