
Le classement des villes les moins chères en 2025
Sources : Observatoire PAP ; MeilleursAgents
De meilleures opportunités dans les villes intermédiaires
Les prix les plus bas se trouvent majoritairement dans des villes de taille intermédiaire, souvent anciennes cités industrielles ou universitaires de province (ex. Saint-Étienne, Besançon, Le Mans).
Il faut dire qu’en 2025, ces villes offrent un bon compromis entre accessibilité et demande locale.
Leur rendement brut moyen est compris entre 6 % et 10 %, ce qui est nettement supérieur aux grandes métropoles (Paris ou Lyon < 5 %).
👉 Dans les villes universitaires (Nancy, Saint-Étienne, Le Mans), la présence étudiante garantit un flux constant de locataires.
Au Havre et Nîmes, les opportunités économiques et touristiques stimulent également la demande.
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Un véritable potentiel de revalorisation
Le potentiel de revalorisation est l’un des atouts majeurs de ces villes accessibles avec un petit budget.
Souvent situées en dehors des radars médiatiques, elles bénéficient de dynamiques locales attractives : développement des transports (ex. lignes TGV, tramways), réhabilitation de quartiers anciens, installation de nouvelles entreprises ou encore ouverture de campus universitaires.
Ces transformations contribuent à améliorer l’attractivité du territoire, ce qui finit par se refléter dans les prix de l’immobilier.
Il s’agit là d’une stratégie à prioriser lorsqu’on sait repérer ces signaux faibles…
Conclusion
Selon les derniers chiffres officiels, les villes les moins chères pour investir en 2025 se situent en province : Saint-Étienne, Limoges, Perpignan, Le Mans, Brest, Besançon, Clermont-Ferrand, Nancy, Nîmes, Le Havre. Dans ces communes, les rendements locatifs moyens sont élevés (7–10 %) et l’avantage, c’est que la demande locative y reste soutenue.